• Le résumé:

     

    Ils entendent le plus léger des bruits de pas…
    Ils sont plus rapides que le plus dangereux des prédateurs…
    Et leur traque ne prendra fin qu’à votre dernier souffle !

    Amy est devant sa télévision quand le pire se produit, quand ILS attaquent. New York, Paris, Tokyo… Des créatures sans pitié déferlent, et dévorent les humains. Personne ne sait d’où ils viennent mais une chose est sûre : la population de la planète décroît dramatiquement en quelques jours à peine. À l’abri de la grille électrifiée de sa maison, Amy parvient à leur échapper… mais pour combien de temps ?

    Elle qui a perdu tous les siens parvient tout de même à recueillir Baby, une petite fille qui a miraculeusement survécu aux crocs acérés des nouveaux maîtres du monde. Trois ans qu’elles survivent en autarcie, quand d’autres survivants commencent à se manifester. Elles pensent que leur enfer est terminé… mais il ne fait que commencer !

     Coup de coeur ♥:

     

       Histoire de vous faire apprendre quelques mots de vocabulaire je vais vous sortir tous ceux compliqués que je connais (alors où qu'il est le dictionnaire l'internaute...) : ce roman est un thriller post-apocalyptique, une dystopie dantesque qui me fis trémuler, me mis dans un état de prostration et atterrir dans les affres du désespoir et les méandres de la peur.   

     Recommandé aux amateurs:

    1. de scénarios désespérés et désespérants
    2. de parents tarés
    3. un deux trois roi du silence ! ( enfin là ça fait deux trois années que ça dure, ça commence à faire long...)

    Maintenant Chuuuutttt ! Je lis !

     


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  • Coucou tout le monde !

    enfant syrien camp refugies image reseaux sociaux

           En me laissant vagabonder sur internet, j'ai découvert cette photo, que j'ai trouvé très triste,et son histoire l'est vraiment tout autant. Découvert sur le site Glamour cette photo montre la terreur qui réside dans certain pays à cause de la guerre. En effet, la fillette lève les mains non pas devant un fusil, mais un appareil photo prit pour une arme. Cette photo est tristement représentative de la réalité là-bas, où les enfants ont prit pour habitude de lever les mains, au lieu de faire, comme je l'aurais fait, un sourire. Toujours sur le site, on peux lire que la fillette âgée de quatre ans, a perdu son père dans les bombardements de Hama en 2011 et vit désormais avec sa mère et ses trois frères et sœurs.

    Et c'est maintenant que je me rappelle à quel point ma liberté est précieuse, et que mon pays aujourd'hui en paix a une chance incroyable....

     


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  • Eularia, 10 septembre 2014

     

    Raz

     

                La classe a fait ami-ami, et du fait les bavardages n’arrêtent pas. C’est un poulailler. Le prof de français hurle tout le temps, et la classe s’amuse à le faire hurler. En même temps, il commence par nous filer un test surprise, le con. Auquel j’ai eu un 18/20, j’ai donc eu ma médaille d’intello pour l’année, ainsi que le surnom de Google Traduction (ou le dictionnaire pour les intimes). C’est toujours préférable à la calculatrice, et ça me va, c’est même assez amicale, mais qu’est ce que ça va être lorsqu’ils vont se rendre compte que je ne suis pas une intello ?

    Rion n’est pas le seul à épuiser ses cordes vocales : la prof d’histoire ne nous supporte plus, et je peux la comprendre, elle ne doit pas aimer recevoir des rapports à la pelle pour « lancer de marrons » en cour de français. Faut croire que c’était une idée assez stupide de nous laisser une heure de vide de quatorze à quinze heures le lundi après-midi avant le cour de Mr Rion. Les marrons étaient fraichement ramassés dans le square à côté du lycée où toute la classe allait, et trente-deux personnes dans un square, ça passe pas inaperçu. En plus, notre classe était un mélange assez explosif de redoublants, de déprimés, de têtes brûlées, de petites racailles et de collèges pas vraiment réputés pour leur discipline exemplaire. On était tous à faire les cons et à mettre la musique à fond grâce à quelques petites enceintes. Pendant ce temps là, moi, je suivais mes amies récemment faite. On regardait les autres ramasser des marrons, les mettre dans leurs poches et leurs sacs de cours sans cours, puis revenir en classe tout fier. Ils s’asseyaient, souriaient et discutaient entre eux, comme des personnes n’ayant aucun reproches à se faire, comme s’ils n’avaient pas prévus de faire un attentat aux marrons, comme si tout était parfaitement normal, pendant que Rion cherchait toujours en criant à avoir le silence, menaçant même de virer des élèves, à qui ça ne faisaient ni chaud ni froid. Le prof était obligé de commencer son cour dans des bruits de blabla interminables. Il eu la mauvaise idée de se retourner pour écrire quelque chose au tableau. Peut-être que s’il avait lu plus de livre aurait-il su qu’on ne tourne pas le dos à l’ennemi, surtout quand cette ennemi était en supériorité numérique. Où alors ne nous considérait-il pas encore comme des ennemis ? Dans ce cas, son jugement allait vite changer. Il reçu un premier marron, se retourna, regarda ce qui lui avait été lancé, et s’énerva : «

                _Mais ce n’est pas possible ! Maintenant ça suffit !!!

    Faux : maintenant la suite. Ce fut deux, puis trois, et une dizaine de marrons que la classe lança sur lui ou entre elle, et qu’ils relançaient des qu’ils en avaient un autre sous la main et que le prof avait le dos tourner. Je dû en esquiver et m’en prendre plusieurs. Ce n’était pas le fait de me prendre des marrons qui m’énervait, ça m’amusait même presque, mais étais-je la seule à me souvenir que nous étions en cours, devant un prof de français qui devait nous aider pour nous préparer à la 1ère, et surtout au bac de français l’an prochain ? Bien que je sois tout à fait d’accord sur le fait que c’était un piètre prof, ne méritait-il pas un peu respect ? L’avis général n’était pas de cet accord, je n’avais même pas besoin de le demander pour le savoir.

    Je dû encore éviter un marron tout en essayant de décrypter ce que notait Rion au tableau et de le retranscrire sur mes feuilles.

    La sonnerie retenti et je ne fus même pas étonné de voir certains partir directement, comme sur des starting–block, ayant au préalable rangés leurs affaires vingt minutes plus tôt afin d’être sûr de ne pas être en retard pour la sortie du cour. Certainement pour leur prochain coup…

     

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  • Hey le monde !

     

    J'ai mis la suite de Liberté Provisoire , on n'est pas encore tout à fait dans le feu de l'action , ça peu paraître ennuyeux mais ce n'est que le temps de présenter, la suite sera beaucoup plus active yes. Je rappelle juste que Liberté Provisoire n'est en aucun cas créer pour critiquer mes professeurs, juste une histoire romancée donc exagérer sur certains point et dont aucun des personnages n'existent réellement.

    Le début de cette histoire n'est pas passionnante ni palpitante, mais c'est le temps d'installer le décors, le reste est plus "marrant" ( autant que peut être amusant le fait de détruire un cour no )

    Donc la suite à bientôt, en espérant que cela vous plaira ! ^^


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  • Eularia, le 7 septembre 2014

     

    Cher Raz.

     

    On était 33 élèves. Le premier jour, je n’avais osé en regarder aucun. Trop de peur et d’angoisse. Moi et ma saloperie de timidité ! J’étais devenue number one aux jeux à l’aveugle : j’avais réussis à choisir ma place sans lever la tête une seule fois. Je m’étais assise et n’avais même pas pris ma peine de retirer mon manteau, comme le reste de la classe d’ailleurs. Effet de groupe, très certainement. La prof principale, mais aussi d’histoire-géographie-éducation civique (mais aussi littérature et société avec une autre prof), Mme Irendelle, m’avait paru être une très gentille bonne femme aux airs de lutin, la trentaine, aimable, polie, souriante. Moi je l’aimais bien, pas les autres. Ils n’avaient pas l’air de cet avis, c'était du moins ce que j’en conclu du long silence qui suivit la demande de la prof pour savoir si quelqu’un pouvait lui prêter une paire de ciseaux. J’en avais bien une et j’hésitais à lui donner, mais devant le mutisme de la classe je préférais m’abstenir. Oui, c’était stupide mais je ne voulais vraiment pas passer pour un lèche-cul ou me différencier de la masse inerte qu’était la classe, même s’il est vrai que c’était parfaitement con. Je voulais me la jouer racaille, je n’avais donc pas mis mes superbes lunettes d’intello, choisi en 4ème, mis un max de poudre sur mes sublimes boutons d’acné et la dose de crayon noir à s’en demander si j’étais gothique.

    La prof a enfin eu une main charitable, Camilia qui lui prêta ses ciseaux. Elle put découper ses feuilles puis nous les distribuer. Nos emplois du temps étaient correct, le lundi nous enchainions une journée de huit/dix-huit heures mais le vendredi nous finissions à treize heures. C’était équitable. On nous prévint que le prof de maths n’était pas là, qu’on avait trouvé un remplaçant qui n’arriverait que lundi. On nous fit ensuite visiter ensuite le bâtiment, c’était inutile, j’étais toujours autant perdu, mais ça faisait passer le temps. Lors du tour de la bâtisse prison, j’en profitais pour me rapprocher d’une certaine Délhia, qui devint ma voisine au cours de français qui suivait le cour d’histoire. Elle n’était pas bavarde, se fichait complètement de ce dont je lui parlais mais écoutait tout de même d’une oreille distraite ce que je disais, et ça me suffisais.

    Le prof de français, Mr Rion, un gros monsieur aux cheveux gris frisés moche, m’énervais déjà. Il nous demanda d’écrire notre vie en insérant des mots qu’il avait déjà préalablement choisis. Je n’ai jamais su à quoi servait cette sorte de test, mais j’ai très vis découvert que ce prof était fou et possédait une halène qui n’avait rien à envier aux chacals.

     

                Je rencontrais le reste de mes profs, fis un bilan rapide de ceux que je pouvais fréquenter sans mourir d’asphyxie et ceux à qui je pouvais parler normalement. Vint ensuite le cour de maths, et ne savant que faire, je décidais de quand même me diriger vers la salle. Je pus découvrir que mon prof était bien là, entrain d’attendre une classe qui n’arriverait jamais. Son nom était inscrit sur le tableau : Mr Gaouad, la limite de l’imprononçable. Il me demanda si le reste de la classe viendrait, je répondis par la négative. Faudrait penser à nous prévenir s’il voulait qu’on vienne, enfin, il me dit que c’était l’administration qui avait merdé, puis si je pouvais dire aux autres de venir à son prochain cour. Il me dit que je pouvais partir, et je me retrouvais seule, Délhia était rentrée chez elle. J’allais donc sur un banc, bien décider à oublier que je m’étais retrouvée toute seule et décidais de profiter de cette heure pour dessiner. Une des filles de ma classe, assise un peu plus loin, se sépara de son groupe.

                _Tu t’appelle Eularia, c’est ça ?

    Nan, Albert Einstein !

                _Oui.

                _Moi c’est Dylan.

    Oui, je le savais, la femme au nom de mec. Les autres filles arrivèrent. Je fis la connaissance d’une Justine et d’une Margot. Deux blondes, l’une forte aux ressemblances étranges avec Winnie l’Ourson, et l’autre plus petite et fine. Je parlais avec elles de sujets normaux  et universels à toutes les rencontres : les anciens lycées, les notes, les amis, la pluie, le beau temps. Margot nous informa qu'en cours d’arts plastiques elle avait répondu à la question « Qui a peint la Joconde ? » que c’était bien évidemment Léonardo Dicaprio, et je me moquais gentiment de son ignorance. On parla ensuite de musique, Dylan étant fan de Selena Gomez, elle nous fit écouter la musique « Love you like a love song ». Survint alors la bourde du siècle, dans un élan de sincérité naïve, je lançais un « À mais ça fait perpette les Alouette qu’on la entendu celle là ! ». Elles me regardèrent, Justine redit « perpette les quoi ? », à Margot d’enchaîner les « perpette les alouettes », puis à toutes d’éclater de rire.

    C’est bon, j’étais fichée.

     

     

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